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Laurent m’a épinglé, si la réaction en chaîne se poursuit, la blogosphère va exploser…

Laurent m’a épinglé :

Salut Régis, je t’ai « tagué » ici :http://caviste.canalblog.com/archiv…
A toi de jouer.


Laurent Baraou, à gauche sur la photo, passait dans l’allée D à Vinexpo. Je lui ai suggéré de s’arrêter un moment pour faire connaissance avec mon ami Jean-Louis Mourre et son superbe Vacqueyras Domaine du Colombier.

Rappel du principe du blogueur tagué :Chaque blogueur tagué doit dévoiler 7 choses le concernant ainsi que le règlement.
Puis il doit taguer 7 blogueurs en les énumérant dans son article puis en laissant un message sur les blogs des 7 personnes choisies pour les inviter à participer.
Les personnes qui ont été taguées devront écrire à leur tour 7 choses personnelles sur leurs blogs…

Me voici donc en route pour relever ce petit défi amusant… si tout le monde joue le jeu, le tour de la blogosphère va être vite fait : un rapide calcul montre qu’au bout de 7 réactions en chaîne, on aura visité 823543 blogs, sous réserve bien sûr de ne pas tourner en rond.

Voici 7 informations personnelles :

  • j’aime tout ce qui vole depuis tout petit, ma passion aéronautique pour l’instant entre parenthèses m’a amené tour à tour à devenir pilote privé avion, pilote de planeur, parachutiste, compétiteur en deltaplane, pilote ulm,
  • les personnes qui travaillent avec moi me trouvent parfois pénible et pointilleux, surtout en période de vinification.
  • après avoir pris des anti-inflamatoires pendant 6 ans, j’ai été soulagé de ma spondylarthrite ankylosante grâce aux conseils d’un client. Je n’ai jamais revu mon rhumatologue depuis une dizaine d’années, j’espère que cela va durer.
  • j’ai une prédisposition à m’endormir dans des lieux divers et variés, par exemple au cinéma, même si le film m’intéresse… cette caractéristique semble avoir été transmise à mon fils, ses camarades le surnomment parfois « le loir »,
  • je n’ai jamais rien compris aux vins de Bourgogne,
  • depuis que j’ai appris les séries exponentielles au lycée dans les années 70, cela m’a fortement étonné que le fonctionnement de notre économie puisse être basé sur une nécessité de croissance indéfinie. René Dumont agronome visionnaire, était alors bien seul à formaliser ce paradoxe,
  • j’admire les gens méthodiques et organisés. Pour ma part, c’est plutôt sous la pression des évènements que j’arrive à avancer.

Je passe la patate chaude à mon vieil ami timbré Didier, au technophile Jean-Michel, à Hervé dont j’admire la prose, à Iris qui nous promène dans ses vignes, à Mathieu du syndicat, aux Auvergnats Annie et Michel, et à Ronald à qui je dois rendre visite depuis si longtemps…